Anton S. Edwards
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Nombre de messages : 40
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Âge du personnage : 17ans
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Date d'inscription : 17/11/2008
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 | Sujet: Anton S. Edwards {une douce mélodie, un caractère lunatique} ___100%___  Lun 17 Nov - 1:00 | |
| « Modèle élève » « Qui es-tu Sorcier ? »Qui es-tu toi, Ô bel êtranger ?Nom - Prénom : Anton Sullivan Edwards
Âge : 17 ans
Date de naissance : 1er juin
Lieu de naissance : Dans un petit champs au fin fond de l'Angletterre
Nationalité : Anglaise
Catégorie Sociale : Plutôt aisé
Nature du sang : Sang Moldu « Toi, en Bref... »Dis nous en plus.Camp : Le Bien enfin le Mal ne l'a jamais appelé
Composition de la baguette : 27,6 centimètre / crin de licorne / bois de hêtre
Année - maison : 7ème année Poufsouffle
Matières préférées : Vol, Soins aux Créatures Magiques et Métamorphose
Matières détestées : Potion, Histoire de la Magie
Don : aucun si ce n'est musicien « Et toi, derrière l'écran ? »Et toi, derrière, que peux-tu nous dire ?Prénom * : Ju'
Âge : 18 ans
Niveau RP : Plutôt bon
Présence : Importante =)
Comment nous as-tu connus ? Par Quelqu'un x)
Un avis sur le forum ? ... Voilà tout est dit =D
Avatar : Alex Pettyfer
Code du règlement : Autovalidation la classe hein ^^
Un mot pour la fin ? Eureka =)
Dernière édition par Anton S. Edwards le Mer 26 Nov - 1:21, édité 8 fois | |
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Anton S. Edwards
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| | Sujet: Re: Anton S. Edwards {une douce mélodie, un caractère lunatique} ___100%___ Lun 17 Nov - 1:51 | |
| « Ton histoire. »Donne nous des détails...I Une enfance incomprise - Anton tu es où?!
On pouvait entendre cette phrase prononcée dans le jardin de la maison des Edwards. C'était une jeune femme de 25 ans environ, aux longs cheveux blonds et au visage fin marqué par une certaine timidité. Elle s'époumonait depuis maintenant une bonne dizaine de minute à appeler son fils. C'est alors qu'après plusieurs minutes d'attente et une montée d'angoisse dans le cœur de la mère, apparut par le portail du jardin un jeune blondinet d'environ 7ans. Il n’était pas très grand pour son âge et sa carrure était plutôt fine. C'était un physique plutôt frêle et il avait un regard rempli de tristesse. Il s'avança tranquillement dans l'allée menant à la porte d'entrée où sa mère l'attendait. Plus il approchait plus la jeune fille voyait les traces de coups sur le visage du jeune Anton, sur sa joue droite un bleu de grande taille s'était formé. Enfin la marque était plutôt verte violette montrant que c'était tout récent. Sa lèvre supérieure saignait et il semblait qu'un cocard se formait peu à peu sur son œil droit. Anton était bien amoché et dès que sa mère prit conscience de la détresse physique de son fils, elle courut vers lui.
Anton s'arrêta lorsqu'il arriva à hauteur de sa mère et sans dire un mot la vie s'abaisser pour se mettre à sa hauteur. Avec un mouchoir qu'elle sortit de sa poche droite, elle épongea le sang qui dégoulinait de sa lèvre. Au contact du morceau de tissu, un malaise se fit sentir dans le jeune homme, lorsque la coupure lavée ressentit les effets du vent frai, un frisson se propagea dans le corps du jeune blondinet. Sa mère commença alors à caresser la joue de son fils, quand elle passa sur le bleu, la douleur devint plus intense et les larmes montèrent en lui. Il s'était pourtant promis de ne pas pleurer, ce n'était pas la première fois qu'il subissait ça et il commençait à retenir de plus en plus ses larmes, ne voulant pas paraitre envahis de tristesse devant sa mère qui ne savait plus comment contrôler la situation. Il vit alors le regard protecteur de sa mère se poser sur lui. Il sentit sa tristesse et son incompréhension. Elle devait surement se demander *Pourquoi mon fils est-il comme ça?! Pourquoi est-il différent?!*. Et ça le jeune homme ne pouvait rien y faire. Elle câlina son fils et pleura quelques larmes avant de se remettre devant Anton et de lui poser la question, celle qu'elle avait tant de fois posé et dont la réponse était au fil des années toujours la même.
- Que s'est-il passé mon bout de chou?!
Elle dit ça avec un regard qui pénétra dans le corps du blondinet, il savait qu'il était différent des autres enfants mais sa mère semblait désespéré. Pour lui, elle finirait bien elle aussi par le laisser tomber, comme l'avait fait son père quand à l'âge de trois ans sont côté paranormal s'était déclaré. Ou alors, la jeune femme le mettrait à l'écart, comme ce que faisait la plupart de ses camarades de classe. Il avait été, au fil des années, toujours plus seul, une solitude difficile à vivre pour un enfant de 7 ans qui ne pouvait pas s'épanouir. Il enviait la vie des autres, ceux qui ne risquaient pas de mettre le feu à la cuisine s’ils sont en colère, ou alors de faire apparaitre des fleurs dans un lieu vide de toute fertilité. Ceux qui n'ont pas de pouvoir magique, tout ceux qui l'entoure, sa mère, ses anciens amis, ses camarades de classe, la boulangère... Et oui c'était un sorcier né moldu, enfin il ne le savait pas vraiment, il connaissait le seul fait qu'il soit différent et ne pouvait imaginer qu’il y avait un monde de sorcier. En repensant à tout ça, une larme finit pas couler sur son visage. Il ne prit même pas la peine de s'éponger et répondit à sa mère qui le fixait avec tant de peine.
- C'était encore Jason et sa bande d'ami, j'étais tranquillement entrain de jouer dans mon coin. Et ils sont arrivés en disant que les gens comme moi ne devaient pas vivre et que je serais seul toute ma vie. Puis j'ai refusé de répondre et leur ais tourné le dos. J'ai ensuite sentit les coups de poings et les coups de pieds qui m'ont fait tombé. Après ils s'en sont pris à mon visage. Je n'ai pas pu me défendre, j'ai juste réussi à faire voler un morceau de branche qui s'est écrasé sur le crâne de Jason. Maman dit moi que je ne suis pas un monstre?!
- Mais non mon cœur tu es un jeune garçon tout à fait normal pour ton âge, tu as juste des dons que les autres n'ont pas. Et puis s’ils sont trop nuls pour le comprendre ne fait pas attention à eux.
- Maman, il pense tous que je suis un monstre, même la maîtresse me regarde bizarrement. Je suis tout le temps seul.
- Je sais mon fils, je sais....
Elle dit ces mots remplis de dépit, elle ne savait plus quoi faire, et ça depuis que son mari l'avait quitté. Elle prit son fils dans ses bras et l'enlaça plusieurs minutes en le berçant. Elle savait que son fils souffrait mais elle ne pouvait rien y faire, elle était dans l'impuissance. Mais elle savait que ce n'était pas un monstre et même si son fils pensait le contraire elle voulait tout faire pour le sortir de sa solitude. II La mystérieuse solitude3ème année - Mai
Cet après midi là, Anton se dirigeait vers le parc du château. Il venait de finir les cours de la journée par un cours de vol. Il affectionnait vraiment ce cours. Depuis qu'il avait appris qu'il était un sorcier et qu'il était rentré dans cette école, Poudlard, c'était une de ses matières préférées et d'ailleurs on peut dire qu'il se débrouillait vraiment bien. Il aimait sentir la légère brise sur son visage et le son du vent dans ses oreilles. Quand il était plus petit, il s'imaginait volé, voir la vie de plus haut, se sentir libre. Alors quand il avait appris que chez les sorciers c'était possible, il était aux anges. Il en était sûr maintenant, quand il sera plus grand il intégrera l'équipe de Quidditch de sa maison.
Il avança sur le chemin principal qui conduisait vers les serres de botanique puis arriva à un croissement d'où partait un sentier secondaire qu'il emprunta. Voilà maintenant presque 9 mois qu'il aimait se balader dans le parc de ce château. Ce monde était tout nouveau pour lui. Quand il avait appris qu'il était admis dans cette école de sorcellerie il crut que c'était encore une de ces blagues salaces venant des gens de son village, lui qui était si différent. Mais très vite il s'était rendu compte que c'était une réalité et malgré le souhait de sa mère qu'il reste avec il, il avait décidé d'intégrer cette école. Il allait enfin être considéré comme quelqu'un de "normal", ce sentiment de "normalité" avait été une grande joie pour lui car il n'était pas le "monstre" que les autres pensaient. C'est ainsi qu'il entra dans la célèbre école de sorcellerie, enfin il y était entré avec une totale ignorance. Quand il avait dû acheter ses fournitures pour l'année sur un lieu nommé le Chemin de Traverse, il avait eu une vague impression de ce monde qui l'intriguait fortement. Sa mère était plus partagée, mais elle savait qu'il ne pouvait pas rester dans le monde "moldu" (comme appelle les sorciers le monde sans pouvoirs magiques), et qu'il serait mieux dans cet endroit.
Tout en repensant à son début d'année, le jeune homme changea de direction et quitta le sentier pour se retrouver devant un très vieil arbre où il avait l'habitude d'aller. Il contempla tout autour de lui, on pouvait voir le lac, la verdure, la liberté et le sentiment d'évasion que ce lieu respirait. Au loin, il aperçut un groupe d'élève qui semblait bien s'amuser près du lac. Ah sa vie sociale. Bien sûr, elle s'était amélioré depuis qu'il était dans ce lieu, mais malheureusement sa timidité et son passé ne l'ont pas aidé à aller vers les gens. Bien sûr, il ne le jugeait pas par le fait qu'il ait des capacités magiques, mais le fait qu'il manque d'assurance, il avait rapidement été classé comme solitaire et rêveur, ce qu’au fond il était. Il avait aussi rencontré des gens avec qui il avait sympathisé et qui savent que c'est un garçon sympathique mais renfermé. Il a aussi vu comment était vu les enfants né moldus par certains élèves qui se sentaient sang purs puisqu'ils étaient supérieurs. Mais ça il n'y avait jamais fait attention. En tout cas en cette 3ème année à Poudlard, le jeune homme se sentait vraiment bien dans ce lieu, même si il a une image de mystérieux solitaire. Il n'avait encore jamais raconté son histoire au gens d'ici... si seulement ils comprenaient ce qu'il avait vécu.
Assis par terre, adossé contre l'arbre, Anton sortit sa guitare. Il avait appris très tôt cette instrument de musique moldu, sa mère lui ayant pris des cours pour qu'il ait une activité, lui qui n'avait pas beaucoup d'ami dans son enfance. Les jambes croisés, les posa sa guitare sur lui, installa bien ses doigts, la main gauche sur le bout des cordes et la droite prête à pincer ses dernière. Quand il fut prêt, il joua une douce mélodie. Une mélodie au rythme lent, cette composition allait très bien avec son caractère, un petit côté grave et doux à la fois. Représentant sa solitude et sa sensibilité. Il aimait se retrouver ici, sous cette arbre a composé. Et quand il commençait, il y restait des heures... I L'amour, une barrière6ème année-Janvier
Anton était assis par terre contemplant le lac depuis plusieurs minutes maintenant. Il avait besoin de réfléchir. Tout se bousculait dans sa tête, cette fille, ces sentiments, son passé, son côté lunatique... Il savait qu'il l'a faisait souffrir, qu'elle ne restera pas longtemps. Mais il était comme ça, il l'avait toujours été, si distant, si mystérieux et renfermé. Pourquoi n'arrivait il pas à avouer ces sentiments. Seulement quelques mots qui pouvaient tout exprimer: Je t'aime. Deux mots, qu’Anton n'avait jamais pu prononcer. Pourquoi?! Il ne le savait pas. Ce qui était sûr c'est qu'il ne pouvait pas. Enfin, il n'avait jamais réussit à le dire. Bizarre me direz vous. Deux mots, trois syllabes, une petite phrase. Et pourtant ca ne sortait pas. C'était tout Anton d'ailleurs, pour lui ça avait une si grande signification qu'il ne pouvait pas le dire comme ça. D'ailleurs, seul dans ces chansons il le disait. Mais là encore c'était des chansons qu'il n'osait pas révéler aux autres. Compliqué le jeune homme. Peut-être la peur de s'accrocher à quelqu'un et d'être déçu. Il préférait finir avec une rupture. Triste.
Une jeune fille apparut dans le gens de vision du jeune homme. Ce n'était pas n'importe quelle fille, c'était elle, sa petite amie du moment. Elle était de la même année que lui et laissait entrevoir une silhouette fine terminée en son sommet par une chevelure noire, luisante et qui descendait jusqu'au milieu du dos. Elle était vraiment jolie, avec ses yeux bleus et son visage souriant. Il paraissait si doux. La jeune fille vint s'asseoir prêt du jeune homme qui tourna la tête pour la contempler. Il put voir l'humidité autour de ses yeux, elle avait donc pleuré. Pleuré à cause de lui et de son mystère. Un silence s'installa entre les deux jeunes étudiants. Anton tourna la tête et regarda le lac pour éviter de regarder la jeune fille dans les yeux et lire sa profonde tristesse. Il savait ce qui allait se passer, mais il voulait repousser l'échéance, attendre que le mot sorte. Puis d'une douce voix suave, la jeune fille engagea la conversation qui était comme il le savait sans issue sauf si...
- Tu sais pourquoi je suis là. Anton je t'aime mais on ne peut pas continuer comme ça. Tant que tu ne briseras pas cette carapace qui t'entoure tu ne trouveras jamais le bonheur.
- Je sais....- le jeune homme répondit en ces mots sans même regarder sa petite amie, mais avec une profonde tristesse qu'il ne voulait révéler.
- Et voilà tu ne réponds rien encore. Encore une fois tu te renferme. Dévoile-moi tes sentiments justes une fois. Si tu m'aimes vraiment tu sauras le faire....
Un nouveau silence tomba su la scène. Le jeune homme aurait tant voulu lui dire ses problèmes, l'absence de son père, son enfance, sa tristesse.... Mais il ne pouvait pas, il ne voulait pas. Il préférait garder tout ça au fond de lui, enfermé à double tour. Il ne voulait pas que ça sorte. La jeune fille reprit la parole.
- Bien puisque c'est comme ça, je ne vois qu'une seule solution, je te quitte. On ne peut pas continuer comme ça. Tu es si lunatique, si renfermé, je pleure tous les soirs, je suis triste, mais je m'en vais.
Elle se leva et commença à partir. Elle avait prononcé la phrase, elle le quittait, encore une. Une de plus à qui il ne pouvait pas tout révéler. Pourtant, il le voulait tellement. Il se retourna pour la regarder partir. Le sentiment de tristesse était de plus en plus intense. Mais c'était ainsi, il ne pouvait pas. Il la regarda s'éloigner.... une fois de plus on le quittait.
***
Principaux caractères non indiqués dans l'histoire: Loyal, Sympathique, Un poil Travailleur, Loyal. | |
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